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Evoluation des méthodes de calcul
Méthode des contraintes admissibles
– jusqu’à 1938
Méthode des efforts destructifs (1938-1955)
Méthode des
états limits (à partir de 1955 jusqu’à présent)
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Evoluation des méthodes de calcul
Méthode des contraintes admissibles
– jusqu’à 1938
Méthode des efforts destructifs (1938-1955)
Méthode des
états limits (à partir de 1955 jusqu’à présent)
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Méthode des contraintes admissibles
Cette méthode a été basée
sur la IIème stade
d’état de contrainte et de
déformation d’un élement.
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Méthode des contraintes admissibles
Hypothèses de cette méthode:
Béton de
la zone tractée ne travail pas, les efforts de
traction s’apercoivent par l’acier;
Béton de la zone comprimée travail de façon élastique et le rapport entre les contraintes et les déformations est linéaire (conformément à la loi de Hooke);
Sections normales à l’axe longitudinale, planes avant la flexion restent planes après la flexion (hypothèse des sections planes)
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Méthode des contraintes admissibles
Comme la suite de ces
hypothèses:
L’épure des contraintes de la zone comprimée du béton
est triangulaire, et la valeur constante du rapport des modules d’élasticité des matériaux
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Méthode des contraintes admissibles
Le calcul s’effectuait pour la
section réduite et pas pour la section réelle. L’aire
de l’acier devait être remplaçée par l’aire équivalent du béton à l’aide d’un certain coefficient.
Dans telle section à l’aide des méthodes de la résistance des matériaux on déterminait les contraintes du béton et de l’armature provoquées par les charges d’exploitation et les valeurs obtenues devaient être comparées avec les contraintes admissibles, qui ont été fixées comme un part de la limite de la résistance
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Méthode des contraintes admissibles
Le défaut principal de cette
méthode: le béton est considéré comme un matériaux élastique.
Rédistibution réelle des contraintes dans le béton d’après la section ne corresponds pas à l’épure réctangulaire etc. En plus, il a été établi que les contraintes réelle dans l’armature sont inférieures que celles déterminées par la méthode considérée.
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Méthode des contraintes admissibles
La présente méthode ne permet
pas de concepter la construction avec le coefficient de
sécurité bien défini avant le calcul, mais ne permet même pas de déterminer les contraintes réelles dans les matériaux. Tout cela amenait aux dépenses excessives des matériaux, installation de l’acier supplémentaire dans la zone comprimée du béton etc.
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Les défauts sont devenus encore plus évidents quand
il fallait d’intoduire les nouveaux types de béton (des
bétons lours des marques élevées, des bétons légers à la base des granulats poreux etc) et des aciers plus résistants.
Voilà pourquoi la nouvelle méthode de calcul — méthode selon les efforts destructifs a vu le jour.
Méthode des contraintes admissibles
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Evoluation des méthodes de calcul
Méthode des contraintes admissibles
– jusqu’à 1938
Méthode des efforts destructifs (1938-1955)
Méthode des
états limits (à partir de 1955 jusqu’à présent)
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Méthode des efforts destructifs
Cette méthode a été élaboré
en ce basant sur la quantité plus importante des
résultats expérimentaux. Méthode prennait en considération les propriété élastiques et plastiques du béton armé et il permettait de déterminer la capacité portante d’un élément de la manière assez précise.
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Cette méthode a été basée sur la IIIème
stade
d’état de contrainte et de déformation d’un élement
travaillant à la flexion.
Méthode des efforts destructifs
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La présente méthode ne tennait pas compte du
travail du béton de la zone tractée. Dans les
formules de calcul on a eu la limite de la résitance du béton à la compression et la limite de fluidité de l’acier au lieu des contraintes admissibles.
Méthode des efforts destructifs
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L’épure des contraintes du béton de la zone
comprimée au début était curviligne, mais au cours de
temps à été remplacée par celle rectangulaire
Méthode des efforts destructifs
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Lors de la détermination des efforts déstructifs des
éléments (cas de travail I,qd la destruction commence dans
la zone tractée du béton), on utilise le principe de la destruction plastique au lieu d’hypothèse des sections planes.
Méthode des efforts destructifs
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Qu’est-ce que c’est qu’un principe de la destruction
plastique?
Méthode des efforts destructifs
D’après ce principe les contrainres dans
le béton et dans l’acier seront atteintes simultanément (en même temps)
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Donc, d’après cette méthode on a une marge
de la résistance (sécurité) dans les formules de calcul,
qui est uni pour un élément tout en entier
Méthode des efforts destructifs
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Méthode de calcul d’après les efforts déstructifs (qui
considère le béton armé comme un matériau possèdant des
caractéristiques élastico-plastique) donne l’image plus correcte du travail réel des sections sous la charge.
Méthode des efforts destructifs
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Ainsi elle permet d’utiliser les propriétés de résistance
et de déformation des matériaux et des constructions de
la façon plus correte. Grâce à cela les solutions finales sont plus économiques.
Méthode des efforts destructifs
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Un grand atout de cette méthode par rapport
à la méthode de calcul d’après les contraintes admissibles
est la possibilité de déterminer le coefficient de la marge de sécurité très proche à la valeur réelle
Méthode des efforts destructifs
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Si on utilise la méthode de calcul d’après
les efforts destructifs on peut obtenir (dans certains cas!!!)
la dépense moins importante de l’acier par rapport au calcul d’après la méthodes des contraintes admissibles. Par exemple, dans les éléments fléchis, l’armature comprimée n’est pas nécessaire
Méthode des efforts destructifs
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Défaut de cette méthode (comme la méthode précedente)
c’est que les écarts possibles des charges réelles et
des caractériques de la résistance des matériaux de leurs valeurs de calcul ne peuvent pas être pris en considération à 100% parce qu’on a qu’un seul coefficient commun de sécurité.
Méthode des efforts destructifs
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En outre, la méthode de calcul d’après
les efforts destructifs ne permettait que déterminer la résistance
de la construction, sans donner la possibilité d’apprécier son travail sour les charges d’exploitation
Méthode des efforts destructifs
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Quand on utilisait l’acier et le béton avec
la résistance relativement basse, les structures avaient des sections
assez grandes, les fissures dans le béton et les flèches provoqués par les charges d’exploitation n’étaient pas trop grandes et elles n’empêchaient pas le travail normal des constructions
Méthode des efforts destructifs
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Avec l’apparition des bétons et de les aciers
plus résistants, les sections transversales se sont réduits, leur
rifidité se baissait et par conséquent les flèces des constructions et la largeur d’ouverture des fissures causé par les charges de calcul devennaient considérables et pouvaient perturber l’exploitation normale
Méthode des efforts destructifs
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A cet égard, la nouvelle méthode de calcul
des constructions en béton armé a été développée. Il
a vu le jour en 1955, au moment de son introduction dans les normes de calcul
Méthode des efforts destructifs
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Evoluation des méthodes de calcul
Méthode des contraintes admissibles
– jusqu’à 1938
Méthode des efforts destructifs (1938-1955)
Méthode des
états limits (à partir de 1955 jusqu’à présent)
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Méthode des états limits
Lors de calcul d’après cette
méthode on peut déterminer les états limites de la
construction de la façon assez précise et on utilise le systèmes des coefficients de calcul, l’intoduction desquels garanti que cet état limite ne sera jamais atteinte, même sous la condition des combinaisons les plus défavorables des charges et des résistances minimales des matériaux.
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Méthode des états limits
La résistance des sections se
détermine également d’après la stade de destruction, pourtant la
sécurité de travail de la construction sous la charge est estimée par le système de coefficient de calcul et pas par un seul coefficitent de sécurité.
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Méthode des états limits
Etat limite c’est l’état de
la construction quand elle ne corréspond plus aux éxigeances
présentées pour cette construction lors d’exploitation, c’est-à-dire elle perd la capacité de résister aux charges et des actions externes ou reçoit les déplacements inadmissibles, endommagements locaux ou l’ouverture excessive des fissures.
Les constructions en béton armé doivent satisfaire aux exigeances de 2 groupes des états limites:
1er groupe des états limites – d’après la capacité portante;
2ème groupe des états limites – aptitude à l’exploitation normale.
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Méthode des états limits
Calcul suivant les états limites
de I ère groupe (groupe de l’incapacité de l’exploitation)
doit être effectué afin d’empêcher:
- Perte de la résistance ou la capacité portante à cause de la destruction du béton ou de la rupture d’armature, y compris la destruction en cas de l’action simultanée des charges extérieures et de l’action défavorable du milieux ambiant;
- Perte de la stabilité (pour les construction s flexibles à parois minces et des constructions pareiles);
- Destruction de fatigue.
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Méthode des états limits
Calcul suivant les états limites
de IIème groupe (groupe de l’incapacité de l’exploitation normale)
doit être effectué afin d’empêcher:
Formation des fissures;
Ouverture des fissures;
Déformation (flèches et courbures excessives, déplacement angulaire, déplacement, oscillations).
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Méthode des états limits
Calcul suivant les états
limites des constructions font pour toutes les stades: fabrication,
stockage, transportation, montage et exploitation.
Les efforts dans les constructions statiquement indeterminées se déterminent tenant compte
les déformations inélastiques du béton et de l’armature, ce qui est très important en cas de l’action de longue durée de la charge
la redistribution des efforts
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Classification des charges.
Valeurs caractéristiques et celles de
calcul
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Charge d’après
la nature de provenance
Technologique (poids des
gens dans des locaux, équipements et marériel);
Atmosphériques (neige, vent,
changement de température, verglas);
Poids propre des constructions portantes protectrices;
Influences seismiques, explosives, celles du feu, abaissement du sol etc.
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Charge d’après la durée
Permanentes (poids propre, pression des
sols, précontrainte);
Temporaires :
de longue durée (poids de l’équipement sur
le revêtement, pression des gaz, des liquides, des matières sèches, la partie de haute durée des charges des ponts roulants, de la neige etc);
de courte durée (gens, partie de courte durée des charges des ponts roulants, de la neige, charge de vent);
épisodiques (seismiques, influence d’explosion, défaillance de l’équipement, abaissement des sols)
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Charge d’après la direction
Vérticales (poids des constructions et
des charges temporaires (utiles));
Horizontales (charge de vent);
Inclinée
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Charge d’après la qualité
Répartie
Ponctuelle
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Classification des charges
Nature de provenance
Durée
Direction
Qualité
Application dans les calculs
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Charge d’après
l’application dans les calculs
Réglementaires (normatives)
Celle de
calcul
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En parlant des charges, il est à remarquer
que vous pouvez vous confronter avec le terme «charge
utile». Ce terme signifie la charge qui est la condition de l’utilisation fonctionnelle de l’une ou l’autre construction ou du bâtiment en entier. C’est à dire que la charge utile sera différente pour les constructions de destination différenre.
Charge utile
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Charges caractéristiques
Charges caractéristiques (avant charges normatives, charges réglementaires)
ce sont les charges qui correspondes aux conditions normales
d’exploitation. Ces charges viennent de:
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Charges limites de calcul
Charges limites de calcul (avant
tout simplement charge de calcul) ce sont les charges
qui correspondes aux valeurs maximales limites, l’apparition desquelles est possible en résultat de l’impact des facteurs qui n’étaient pas pris en considération.
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Passage d’une charge à l’autre
Passage d’une charge caractéristique
à la charge limite de calcul s’effectue par la
multiplication de première par le coefficient de sécurité d’après la charge:
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Combinaison des charges
Généralement, la charge agissante sur la
construction n’est pas seule, mais avec des «amis». C’est
pourquoi on parle de la combinaison des charges. A chaque fois, on doit choisir la combinaison des charges la plus défavorables
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Combinaison des charges
Les combinaisons prévues par les normes:
Combinaison
principale : charges permanentes + charges de longue durée
+ charges de courte durée;
Combinaison épisodique (avant particulière) –des charges énumerées ci-dessus + une des charges particulière