scolaire, l'histoire d'une puce se promenant sur un corps humain. Dès l’âge de 13 ans, il fait ses premières armes en écrivant des histoires pour un fanzine. Après ses études en criminologie à Toulouse et de journalisme à l'ESJ de Paris, il devient pigiste dans plusieurs journaux (L'Événement, Le Point, VSD, etc.) puis journaliste scientifique de 1983 à 1990 au Nouvel Observateur. Il rédige aussi des billets d'humeur dans le magazine Eurêka. De ces années lui vient son goût pour la science, qu’il mêle avec ses thèmes favoris, des fourmis à la mort jusqu’aux origines de l’humanité.
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Bernard Werber publie son premier roman, Les Fourmis,
en 1991. Ses œuvres ont été traduites en trente-cinq
langues.
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Son style d’écriture mêle différents genres, notamment la
saga d’aventure, la science-fiction, de l’entre-deux-guerres et le faux
cont philosophique. Dans la plupart de ses romans, Bernard Werber utilise la même forme de construction, alternant des articles informatifs d’encyclopédie et deux ou trois fils narratifs. Les articles précisent ou élargissent les intrigues, ces deux dernières se recoupant épisodiquement.
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Bernard Werber utilise diverses symboliques dans ses livres.
Les animaux comme les dauphins, les rats ou les
fourmis sont représentés comme des animaux intelligents. La symbolique des chiffres tient également une grande place et, selon la façon dont ils sont expliqués, ils reflètent « le stade de l’évolution de l’âme ». C'est notamment durant la lecture du cycle des Dieux que l'on se rend compte à quel point Bernard Werber donne une signification implicite aux animaux.
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Il est, aussi… peintre
http://www.bernardwerber.com/unpeuplus/peinture/peinture.html